Pas de commentaires possibles dans la page, donc ici :
La clé d'un tableau est stockée comme hash, donc c'est probable que cela marche, mais le foreach convertissant d'un tableau en objet doit lui aussi être coûteux.
Ensuite, il n'y a aucune stat citée ou papier qui démontrent la différence de vitesse d'exé entre les deux snippets. Cela mériterait d'être testé à différentes tailles, avec des tableaux de 1000, 10.000 et 100.000 entrées.
Article très bizarre… Zemlin, le directeur de la Linux Foundation dit que c'est une « victoire », mais il n'explique pas vraiment en quoi c'est une victoire…
Je n'ai pas vraiment eu de problèmes mais plutôt des difficultés. La principale, c'est qu'il faut vraiment apprendre l'outil et que ça demande un peu de temps et d'effort.
Par exemple, l'organisation du système de fichiers est très différente du FHS : tu ne peux pas “installer vite-fait dans /usr/local/bin”, il faut définir un package qui installe proprement.
Une autre difficulté classique au début est le conflit de packages. Personnellement, je n'installe presque rien avec des “nix-env -iA”, seulement un paquet de “logiciels de tous les jours” que je définis dans “.config/nixpkgs/config.nix”. Quand je travaille sur un projet particulier, j'y écris un default.nix (dépendances, directives de construction…) et je lance un environnement correspondant avec un “nix-shell”.
Enfin le langage de description de paquets est assez particulier et sa “bibliothèque” assez grande, ce qui est un peu perturbant au début. Il y a de bonnes docs/blogs/wikis sur le net mais il faut les trouver (et les lire)…
Voilà, ce sont à peu près les seules difficultés, pour mon usage perso, du moins.
Comparer les binaires sous licence propriétaire de Microsoft qui peut injecter ce qu'il veut dedans, comme dans le cas de la plupart des binaires android (et chapeau au project exodus privacy) aux binaires distribués par la fondation mozilla sous Mozilla Public License qui est compatible avec la plupart des licences libres (et avec la GPL à une restriction près) n'a aucun sens.
Avec cette licence utilisée par Microsoft, il y a des restrictions quant à l'utilisation (interdit de pratiquer la rétro-ingénierie), à la distribution (interdit d'exporter dans certains pays). Microsoft se réserve le droit de récolter des données avec cette licence. Et bien d'autres choses, il suffit de parcourir la licence.
“share, publish, or lend the software, or provide it as a hosted solution for others to use, or transfer the software or this agreement to any third party. ” => t'as pas le droit de partager le binaire. Mais LOL quoi.
Bref, il est très important que les gens sachent que la licence des binaires qu'ils utilisent n'est PAS libre, ce qui est bien sûr le but de Microsoft. Et vu les réactions à l'article, la confusion semble total pour certains. On se doit d'être vigilant avec un acteur comme Microsoft, ce sont des spécialistes de la réduction des droits, ils ont quasiment inventé la license propriétaire et les restrictions qui vont avec.
Billet au titre racoleur pour rien de neuf et déjà pratiqué par d'autres : Firefox aussi est sur une licence limitative quand à l'usage du nom et du logo, Libre Office, et j'en passe.
C'est fait pour éviter qu'un tiers s'amuse à compiler le logiciel en y incluant des spywares/ransomware/cryptocurrencyware et le redistribue.
C'est pareil pour d'autres logiciels assez connus. Sous Gentoo on les retrouve avec le USE flag bindist.
Les logiciels marqués comme tels peuvent être installés, mais le binaire géneré ne peut pas être distribué sur une autre machine.
Dans le lot on retrouve openssl, firefox, mesa, openssh entre autre.
Alors ça ne veux pas dire que c'est libre ou pas libre. Ça indique juste qu'il existe des morceaux de code qui ne sont pas libres et qui donc, une fois compilé ne peuvent être pas redistribué.
Par exemple pour mesa, il s'agit de certains algo de compression de texture qui ne peuvent être utilisé dans certains pays à cause de brevet, pour firefox c'est le branding qui pose soucis, pour openssl et openssh, ce sont certains algos de chiffrements qui posent soucis.
Certaines distributions découpent le logiciel en plusieurs paquets avec la partie complètement libre d'un côté et les parties plus problèmatiques dans un autre paquet (le cas de mesa sur archlinux de mémoire).
Maintenant la question qui se pose, quelle est la différence entre une version compilée à la maison et la version compilée par Microsoft ?
Je m'y intéresse sérieusement, tu as quels problèmes dessus (car il y en a toujours) ? Je me suis mis à Nix pour voir le potentiel (énorme) mais je n'arrive pas à installer Chromium par exemple.
oui mais il manque le foreach qui construit le dictionnaire.
La réponse ici avec des stats => https://stackoverflow.com/questions/13483219/what-is-faster-in-array-or-isset
Ce tir sur GNU… mérité
Pas de commentaires possibles dans la page, donc ici : La clé d'un tableau est stockée comme hash, donc c'est probable que cela marche, mais le
foreach
convertissant d'un tableau en objet doit lui aussi être coûteux. Ensuite, il n'y a aucune stat citée ou papier qui démontrent la différence de vitesse d'exé entre les deux snippets. Cela mériterait d'être testé à différentes tailles, avec des tableaux de 1000, 10.000 et 100.000 entrées.Si, c'est même le seul binaire disponible. https://github.com/nachoparker/dutree/releases/download/v0.2.7/dutree-linux-x86
Pas de binaire compatible sur linux ? C'est dommage…
Ah oui exact ! Je vais voir pour remonter l'info au dev, merci ;-)
Visiblement il y a un bug, sur la capture de la commande
dutree -d2
il y a une ligne qui indique 99%.Pour l'installation, pour s'éviter de le compiler il est possible de télécharge le binaire directement sur la page des releases : https://github.com/nachoparker/dutree/releases
Article très bizarre… Zemlin, le directeur de la Linux Foundation dit que c'est une « victoire », mais il n'explique pas vraiment en quoi c'est une victoire…
Je n'ai pas vraiment eu de problèmes mais plutôt des difficultés. La principale, c'est qu'il faut vraiment apprendre l'outil et que ça demande un peu de temps et d'effort.
Par exemple, l'organisation du système de fichiers est très différente du FHS : tu ne peux pas “installer vite-fait dans /usr/local/bin”, il faut définir un package qui installe proprement.
Une autre difficulté classique au début est le conflit de packages. Personnellement, je n'installe presque rien avec des “nix-env -iA”, seulement un paquet de “logiciels de tous les jours” que je définis dans “.config/nixpkgs/config.nix”. Quand je travaille sur un projet particulier, j'y écris un default.nix (dépendances, directives de construction…) et je lance un environnement correspondant avec un “nix-shell”.
Enfin le langage de description de paquets est assez particulier et sa “bibliothèque” assez grande, ce qui est un peu perturbant au début. Il y a de bonnes docs/blogs/wikis sur le net mais il faut les trouver (et les lire)…
Voilà, ce sont à peu près les seules difficultés, pour mon usage perso, du moins.
Comparer les binaires sous licence propriétaire de Microsoft qui peut injecter ce qu'il veut dedans, comme dans le cas de la plupart des binaires android (et chapeau au project exodus privacy) aux binaires distribués par la fondation mozilla sous Mozilla Public License qui est compatible avec la plupart des licences libres (et avec la GPL à une restriction près) n'a aucun sens.
Avec cette licence utilisée par Microsoft, il y a des restrictions quant à l'utilisation (interdit de pratiquer la rétro-ingénierie), à la distribution (interdit d'exporter dans certains pays). Microsoft se réserve le droit de récolter des données avec cette licence. Et bien d'autres choses, il suffit de parcourir la licence.
“share, publish, or lend the software, or provide it as a hosted solution for others to use, or transfer the software or this agreement to any third party. ” => t'as pas le droit de partager le binaire. Mais LOL quoi.
Bref, il est très important que les gens sachent que la licence des binaires qu'ils utilisent n'est PAS libre, ce qui est bien sûr le but de Microsoft. Et vu les réactions à l'article, la confusion semble total pour certains. On se doit d'être vigilant avec un acteur comme Microsoft, ce sont des spécialistes de la réduction des droits, ils ont quasiment inventé la license propriétaire et les restrictions qui vont avec.
Billet au titre racoleur pour rien de neuf et déjà pratiqué par d'autres : Firefox aussi est sur une licence limitative quand à l'usage du nom et du logo, Libre Office, et j'en passe. C'est fait pour éviter qu'un tiers s'amuse à compiler le logiciel en y incluant des spywares/ransomware/cryptocurrencyware et le redistribue.
C’est pourquoi nous avons pris la décision de stopper le développement d’hubiC et de suspendre la création de nouveaux comptes : https://www.ovh.com/fr/fin-inscription-hubic/
Tcho !
La réponse ici: https://github.com/Microsoft/vscode/issues/60#issuecomment-161792005 :)
Je suis arrivé là-dessus depuis la licence (https://code.visualstudio.com/license) puis FAQ !
Je crois que la version libre ne fournit pas le store d'extensions ?
C'est pareil pour d'autres logiciels assez connus. Sous Gentoo on les retrouve avec le USE flag bindist. Les logiciels marqués comme tels peuvent être installés, mais le binaire géneré ne peut pas être distribué sur une autre machine.
Dans le lot on retrouve openssl, firefox, mesa, openssh entre autre. Alors ça ne veux pas dire que c'est libre ou pas libre. Ça indique juste qu'il existe des morceaux de code qui ne sont pas libres et qui donc, une fois compilé ne peuvent être pas redistribué.
Par exemple pour mesa, il s'agit de certains algo de compression de texture qui ne peuvent être utilisé dans certains pays à cause de brevet, pour firefox c'est le branding qui pose soucis, pour openssl et openssh, ce sont certains algos de chiffrements qui posent soucis. Certaines distributions découpent le logiciel en plusieurs paquets avec la partie complètement libre d'un côté et les parties plus problèmatiques dans un autre paquet (le cas de mesa sur archlinux de mémoire).
Maintenant la question qui se pose, quelle est la différence entre une version compilée à la maison et la version compilée par Microsoft ?
Je planche sur un outil pour convertir aisément les archives Exchange (.pst) vers un format libre et interoperable (.mbox)
Je m'y intéresse sérieusement, tu as quels problèmes dessus (car il y en a toujours) ? Je me suis mis à Nix pour voir le potentiel (énorme) mais je n'arrive pas à installer Chromium par exemple.
Merci, Tcho !
Pour l'anecdote, sous RHEL/CentOS ça se présente comme ça.
https://blog.microlinux.fr/gdm-centos/