Billet flippant mais qui s'alarme pour si peu : ces clauses existent un peu partout depuis plus d'une dizaine d'année.
Cela concerne les documents hébergés publiquement sur le Drive, et ces clauses permettent surtout à Google d'avoir le droit de répliquer le contenu sur différents serveurs. Et contrairement à ce que croient les commentateurs (qui ont sûrement le même niveau que moi en droit, c'est à dire quasi nul), tu ne cèdes pas le copyright. Google se protège tout simplement en se prévoyant une voie de recours judiciaire si tu uploades sur ses services le dernier film avec Kev Adams, ou si tu t'amuses à envoyer un mp3 et à demander des droits pour chaque serveur où tu le copies ou pour chaque personne qui le télécharge.
Billet flippant mais qui s'alarme pour si peu : ces clauses existent un peu partout depuis plus d'une dizaine d'année.
Cela concerne les documents hébergés publiquement sur le Drive, et ces clauses permettent surtout à Google d'avoir le droit de répliquer le contenu sur différents serveurs. Et contrairement à ce que croient les commentateurs (qui ont sûrement le même niveau que moi en droit, c'est à dire quasi nul), tu ne cèdes pas le copyright. Google se protège tout simplement en se prévoyant une voie de recours judiciaire si tu uploades sur ses services le dernier film avec Kev Adams, ou si tu t'amuses à envoyer un mp3 et à demander des droits pour chaque serveur où tu le copies ou pour chaque personne qui le télécharge.
Ouai c'est flippant.
Il me tarde qu'un auteur voit son œuvre publié par Google avant même d'avoir pu trouver un deal avec un éditeur…