Perso, je ne comprend pas les gens qui retienne “:wq” quand on peut faire “:x” qui fait la même chose.
(attention, “:w” ou ‘:q" tout seul, okay, mais les deux :s)
Hum; interessant ce point, donc, imaginions la chose suivante :
vi /var/log/syslog
[2min se passe … des lignes sont rajouté dans dans le syslog]
si à ce point là, je fais :x (ce qui biensur, est assez couillon, tout autant que le :wq) je n'aurais PAS les lignes rajoutées ?!
En relisant, je me dis que mon explication n'est peut être pas clair, du coup :)
“:x” ne sauvegarde que si le fichier a été modifié dans vi.
Donc dans l'exemple :
“:x” n'écrase pas le fichier, mais quitte simplement, comme “:q”.
“:wq” tentera d'écrire, et demandera une confirmation, puisque le fichier a été modifié hors vi entre temps.
Je comprend, par contre ca me conforte dans l'idée que :x est plus intéréssant dans beaucoup de cas de figure.
L'edition simple d'une part, et de l'autre, on evite la demande de confirmation.
Merci pour les explications en tout cas :)
« Ce genre de tutorial ne sert à rien […] Quand je dois manipuler des gros fichiers, j’utilise d’autres moyens comme un IDE. » -> Les tutos plus lourds servent justement à utiliser Vi(m) comme un IDE =)
Après chacun a son usage, connaître juste les bases c'est bien aussi, par exemple pour pouvoir se démerder sur n'importe quelle station Unix de moins de 30 ans (puisque du coup c'est bien de Vi l'ancêtre qu'il s'agit je crois).
Et dans mon humble expérience, les rares fois où l'on est réduit à Vi brut de décoffrage en rescue mode, on arrive toujours à se démerder. (“Hé m***e c'est vrai y'a plus de :split ici”).
Est-ce bien compatible VI (et non VIM) ?
Perso, je ne comprend pas les gens qui retienne “:wq” quand on peut faire “:x” qui fait la même chose. (attention, “:w” ou ‘:q" tout seul, okay, mais les deux :s)
Il y a une très légère différence entre les deux : “:wq” sauvegarde, puis quitte. “:x” sauvegarde si le fichier a été modifié, puis quitte.
Dans le cas où le fichier a été modifié par une autre application entre temps, le résultat final sera différent ;)
Hum; interessant ce point, donc, imaginions la chose suivante :
vi /var/log/syslog[2min se passe … des lignes sont rajouté dans dans le syslog] si à ce point là, je fais :x (ce qui biensur, est assez couillon, tout autant que le :wq) je n'aurais PAS les lignes rajoutées ?!
En relisant, je me dis que mon explication n'est peut être pas clair, du coup :) “:x” ne sauvegarde que si le fichier a été modifié dans vi.
Donc dans l'exemple : “:x” n'écrase pas le fichier, mais quitte simplement, comme “:q”. “:wq” tentera d'écrire, et demandera une confirmation, puisque le fichier a été modifié hors vi entre temps.
Je comprend, par contre ca me conforte dans l'idée que :x est plus intéréssant dans beaucoup de cas de figure. L'edition simple d'une part, et de l'autre, on evite la demande de confirmation. Merci pour les explications en tout cas :)
« Ce genre de tutorial ne sert à rien […] Quand je dois manipuler des gros fichiers, j’utilise d’autres moyens comme un IDE. » -> Les tutos plus lourds servent justement à utiliser Vi(m) comme un IDE =)
Après chacun a son usage, connaître juste les bases c'est bien aussi, par exemple pour pouvoir se démerder sur n'importe quelle station Unix de moins de 30 ans (puisque du coup c'est bien de Vi l'ancêtre qu'il s'agit je crois).
C'est le but de ce tuto : le minimum pour se démerder :)
Sinon, le meilleur formateur pour Vim, c'est Vim lui-même.
https://blog.microlinux.fr/vim/
Et dans mon humble expérience, les rares fois où l'on est réduit à Vi brut de décoffrage en rescue mode, on arrive toujours à se démerder. (“Hé m***e c'est vrai y'a plus de :split ici”).