Déjà c'est opensource qui me fait tiquer. Il y a déjà (je sens) la non distinction de Libre et Opensource.
Et justement ces derniers temps l'Opensource gagne énormément de terrain surtout via Android (que je considère opensource et non libre dans son dev).
Tout le monde a plusieurs Android chez soit : dans une enceinte, dans deux smartphone, dans une téloche, ptet même dans la bagnole. Et pourtant dans une maison il y a rarement plus d'un Windows…
Toutes les entreprises (même Microsoft, c'est dire) s'orientent massivement vers l'Opensource (au moins pour les outils et/ou les produits plus B2B) et donc progressivement l'offre opensource se retrouve à concurrencer crédiblement le fermé.
Et dans l'article j'ai pas trouvé la chute : “L'Open Source ne marchera jamais (sauf si…)”. Sauf si quoi ?
Sauf si le coût du changement devient plus faible le bénéfice apporté ? Thanks Captain Obvious.
X ne marchera jamais sauf si ça devient mieux. Ça marche avec tout.
Ensuite l'écueil : “L'Open Source est rarement innovant et se contente généralement de recopier le proprio” me paraît peu valable. Sur tous les logiciels/services qui sortent, peu sont originaux, la plupart sont des repompes légèrement différentes d'un autre service/logiciel existant et ce que ce soit opensource ou proprio.
Et enfin pour finir : pourquoi dire que ça ne marchera jamais ? Ça marche déjà, non ?
Le Libre n'a pas un besoin intrinsèque de marcher. Il n'y a pas besoin de gagner de part de marché, de conquérir un secteur, d'avoir une marque. Le Libre a juste besoin d'exister et de permettre à ceux qui en veulent d'en avoir et de ne pas emmerder l'utilisateur avec toutes les contraintes du non-libre.
Bref je me rend compte que j'ai écris un roman que j'aurai mieux fait de blogguer mais voilà.
Oui, j'aurais dû utiliser le terme “Libre” plutôt que celui de “Open Source”.
Je me rends bien compte que l'Open Source et déjà présent dans tout un tas d'appareils et que Microsoft et d'autres entreprises investissent massivement dedans.
Je voulais parler du libre, et de son adoption par le grand publique. Et plus particulièrement des alternatives libres à des produits propriétaires qui veulent faire changer les habitudes des utilisateurs.
Pour le “sauf si…” c'est sauf si ces alternatives libres comprennent qu'elles ne peuvent pas faire passer un utilisateur d'un produit proprio à du libre par le seul argument que c'est du libre et que c'est respectueux de la vie privée.
La philosophie majoritaire, c'est la philosophie de l'expérience utilisateur (le confort, la rapidité..) tu ne peux pas convaincre avec une philosophie minoritaire.
Le libre n'a pas tout le temps pour objectif de plaire à la majorité. Mais mon article parle de ces alternatives. Comme Framasoft qui veut dégooglisé l'internet par exemple. Et ces alternatives veulent plaire à la majorité.
Sans compte toutes les personnes qui voudraient que tous le monde utilisent Linux.
Pour ces entités et personnes là : Vous n'arriverez pas à changer les habitudes des utilisateurs de produit proprio sauf si vous proposez une vraie expérience utilisateur.
Tu fais disparaître tous les projets libre/open-source, la majorité des projets proprios font le vol aussi (j'écris ça sans source).
Les gens ne sont plus éduqués à connaître les outils qu'ils utilisent. Le marketing que les libristes peuvent détester (et j'en fais parti) conduit les gens à n'être que des consommateurs et rien de plus. On leur dit que Foo et meilleurs que Bar et ça leur suffit pour passer de Bar à Foo (sprintf Google Chrome et Firefox).
Dans ton analyse, tu échappes une partie de la population que veut reprendre les choses en main, surtout quand il s'agit des outils que leurs enfants utilisent (@see https://www.tinternet.net/ + les échanges avec les gens [très très loin des geeks] lors des rencontres).
Plusieurs trucs me font tiquer.
Déjà c'est opensource qui me fait tiquer. Il y a déjà (je sens) la non distinction de Libre et Opensource. Et justement ces derniers temps l'Opensource gagne énormément de terrain surtout via Android (que je considère opensource et non libre dans son dev). Tout le monde a plusieurs Android chez soit : dans une enceinte, dans deux smartphone, dans une téloche, ptet même dans la bagnole. Et pourtant dans une maison il y a rarement plus d'un Windows…
Toutes les entreprises (même Microsoft, c'est dire) s'orientent massivement vers l'Opensource (au moins pour les outils et/ou les produits plus B2B) et donc progressivement l'offre opensource se retrouve à concurrencer crédiblement le fermé.
Et dans l'article j'ai pas trouvé la chute : “L'Open Source ne marchera jamais (sauf si…)”. Sauf si quoi ? Sauf si le coût du changement devient plus faible le bénéfice apporté ? Thanks Captain Obvious. X ne marchera jamais sauf si ça devient mieux. Ça marche avec tout.
Ensuite l'écueil : “L'Open Source est rarement innovant et se contente généralement de recopier le proprio” me paraît peu valable. Sur tous les logiciels/services qui sortent, peu sont originaux, la plupart sont des repompes légèrement différentes d'un autre service/logiciel existant et ce que ce soit opensource ou proprio.
Et enfin pour finir : pourquoi dire que ça ne marchera jamais ? Ça marche déjà, non ? Le Libre n'a pas un besoin intrinsèque de marcher. Il n'y a pas besoin de gagner de part de marché, de conquérir un secteur, d'avoir une marque. Le Libre a juste besoin d'exister et de permettre à ceux qui en veulent d'en avoir et de ne pas emmerder l'utilisateur avec toutes les contraintes du non-libre.
Bref je me rend compte que j'ai écris un roman que j'aurai mieux fait de blogguer mais voilà.
Salut Lord,
Oui, j'aurais dû utiliser le terme “Libre” plutôt que celui de “Open Source”.
Je me rends bien compte que l'Open Source et déjà présent dans tout un tas d'appareils et que Microsoft et d'autres entreprises investissent massivement dedans.
Je voulais parler du libre, et de son adoption par le grand publique. Et plus particulièrement des alternatives libres à des produits propriétaires qui veulent faire changer les habitudes des utilisateurs.
Pour le “sauf si…” c'est sauf si ces alternatives libres comprennent qu'elles ne peuvent pas faire passer un utilisateur d'un produit proprio à du libre par le seul argument que c'est du libre et que c'est respectueux de la vie privée.
La philosophie majoritaire, c'est la philosophie de l'expérience utilisateur (le confort, la rapidité..) tu ne peux pas convaincre avec une philosophie minoritaire.
Le libre n'a pas tout le temps pour objectif de plaire à la majorité. Mais mon article parle de ces alternatives. Comme Framasoft qui veut dégooglisé l'internet par exemple. Et ces alternatives veulent plaire à la majorité.
Sans compte toutes les personnes qui voudraient que tous le monde utilisent Linux.
Pour ces entités et personnes là : Vous n'arriverez pas à changer les habitudes des utilisateurs de produit proprio sauf si vous proposez une vraie expérience utilisateur.
L'open-source fonctionne déjà, selon certains il a même gagné la bataille. Cf. Android, GitHub, Microsoft, etc.
Je suis d'accord. Il est extrêmement répandu.
Je me suis mal exprimé, j'aurais du parler du libre. Pour le reste, je te laisse lire la réponse que j'ai écrite à Lord.
Tu fais disparaître tous les projets libre/open-source, la majorité des projets proprios font le vol aussi (j'écris ça sans source).
Les gens ne sont plus éduqués à connaître les outils qu'ils utilisent. Le marketing que les libristes peuvent détester (et j'en fais parti) conduit les gens à n'être que des consommateurs et rien de plus. On leur dit que Foo et meilleurs que Bar et ça leur suffit pour passer de Bar à Foo (sprintf Google Chrome et Firefox).
Dans ton analyse, tu échappes une partie de la population que veut reprendre les choses en main, surtout quand il s'agit des outils que leurs enfants utilisent (@see https://www.tinternet.net/ + les échanges avec les gens [très très loin des geeks] lors des rencontres).