Premièrement, elle se base sur le concept de la « tragédie des communs » de Garrett Hardin, qui s'avère être bidon (un peu comme toutes les théories économique libérales), cf. https://lejournal.cnrs.fr/billets/la-tragedie-des-communs-etait-un-mythe. Du coup, il faudrait peut-être arrêter de baser nos sociétés, nos fonctionnements, etc. sur des théories qui ont fait la preuve de leur inexactitude et de leurs effets néfastes. Ce qui est paradoxal c'est que l'article enchaîne ensuite avec les travaux de Olstrom qui contredisent ceux de Hardin
Ce qui nous amène au deuxième problème, c'est qu'il fait, en plus d'une interprétation très personnelle, une application sélective des principes de Olstrom au domaine de l'open-source.
Troisièmement, le parallèle entre gestion du logiciel open-source et gestion d'un bien commun limité est tordu, et je me demande s'il tient vraiment… On passe du logiciel lui-même et sa communauté, à ses “clients” étant le bien commun, tout en gardant d'appliquer les principes de gestion de commune au logiciel qui pourtant du coup n'est plus l'objet “bien commun”…
Bon, trois problèmes à cette analyse.
Premièrement, elle se base sur le concept de la « tragédie des communs » de Garrett Hardin, qui s'avère être bidon (un peu comme toutes les théories économique libérales), cf. https://lejournal.cnrs.fr/billets/la-tragedie-des-communs-etait-un-mythe. Du coup, il faudrait peut-être arrêter de baser nos sociétés, nos fonctionnements, etc. sur des théories qui ont fait la preuve de leur inexactitude et de leurs effets néfastes. Ce qui est paradoxal c'est que l'article enchaîne ensuite avec les travaux de Olstrom qui contredisent ceux de Hardin
Ce qui nous amène au deuxième problème, c'est qu'il fait, en plus d'une interprétation très personnelle, une application sélective des principes de Olstrom au domaine de l'open-source.
Troisièmement, le parallèle entre gestion du logiciel open-source et gestion d'un bien commun limité est tordu, et je me demande s'il tient vraiment… On passe du logiciel lui-même et sa communauté, à ses “clients” étant le bien commun, tout en gardant d'appliquer les principes de gestion de commune au logiciel qui pourtant du coup n'est plus l'objet “bien commun”…