J'avoue une profonde détestation pour SeLinux, je le passe en permissif sur tous les serveurs où je bosse. A mon avis c'est un machin fait par les administrateurs pour emmerder les dev.
SELinux est véritablement une purge et un emmerdement quotidien sur mon poste de travail quotidien avec Fedora Workstation. Qu'il soit installé sur des gros serveurs RHEL certes, mais sur une station de travail cela n'a aucun intérêt.
Mais merci pour ton article riche et en français qui démystifie un peu cette soupe ésotérique qu'est SELinux. :)
D'accord avec toi sur le principe. À mon humble avis, la place de SELinux est effectivement sur des serveurs RHEL. Je pense qu'une fois qu'on en a cerné les bases - et c'est précisément pour cela que j'ai écrit l'article - ce n'est pas si difficile que ça.
J'avoue une profonde détestation pour SeLinux, je le passe en permissif sur tous les serveurs où je bosse. A mon avis c'est un machin fait par les administrateurs pour emmerder les dev.
Je pensais comme toi, et puis j'ai regardé la présentation de Thomas Cameron, qui m'a fait changer d'avis.
https://www.youtube.com/watch?v=MxjenQ31b70
Du coup j'ai pris le temps de me documenter, et j'ai écrit cette intro pour les autres.
Merci !
SELinux est véritablement une purge et un emmerdement quotidien sur mon poste de travail quotidien avec Fedora Workstation. Qu'il soit installé sur des gros serveurs RHEL certes, mais sur une station de travail cela n'a aucun intérêt.
Mais merci pour ton article riche et en français qui démystifie un peu cette soupe ésotérique qu'est SELinux. :)
D'accord avec toi sur le principe. À mon humble avis, la place de SELinux est effectivement sur des serveurs RHEL. Je pense qu'une fois qu'on en a cerné les bases - et c'est précisément pour cela que j'ai écrit l'article - ce n'est pas si difficile que ça.