Et donc là c'est toujours le même problème. Oui, LibreOffice est bourré de défauts, mais aucune alternative n'existe, même en découpant la tâche en plusieurs outils. Alors après ça dépend des usages, si LaTeX et le markdown ça convient à l'auteur tant mieux, mais pour le moi le problème est resté insoluble parce que je me sers de LibreOffice un peu comme un outil de traitement de texte mais aussi un peu de PAO. Que ce soit pour Writer ou Draw. J'ai pas envie de passer des heures à bricoler des positionnements de figures avec LaTeX par exemple, et Draw me permet de faire bien plus de choses que graphviz.
Mais comme toujours, le problème devient sérieux avec les usages mixtes et pour tout ce qui touche à de la composition visuelle. D'autant plus que l'approche minimaliste / Kiss / UNIX, qui est souvent encensée ici, n'est définitivement pas appropriée à certains usages. Le truc c'est que sur une feuille de papier on peut tout faire. Donc quand on reprend la métaphore du papier on se retrouve toujours avec le même truc, une suite bureautique : un peu de PAO par-ci, un peu de texte par-là. Ou alors on se retrouve avec des logiciels spécialisés (comme les outils LaTeX) qui sont finalement peu flexibles (soyons honnêtes). Le grand drame finalement, c'est que l'informatisation des bureaux s'est surtout faite en passant du document papier au document électronique. Le succès du PDF est du à cette inertie.
Et donc là c'est toujours le même problème. Oui, LibreOffice est bourré de défauts, mais aucune alternative n'existe, même en découpant la tâche en plusieurs outils. Alors après ça dépend des usages, si LaTeX et le markdown ça convient à l'auteur tant mieux, mais pour le moi le problème est resté insoluble parce que je me sers de LibreOffice un peu comme un outil de traitement de texte mais aussi un peu de PAO. Que ce soit pour Writer ou Draw. J'ai pas envie de passer des heures à bricoler des positionnements de figures avec LaTeX par exemple, et Draw me permet de faire bien plus de choses que graphviz.
Mais comme toujours, le problème devient sérieux avec les usages mixtes et pour tout ce qui touche à de la composition visuelle. D'autant plus que l'approche minimaliste / Kiss / UNIX, qui est souvent encensée ici, n'est définitivement pas appropriée à certains usages. Le truc c'est que sur une feuille de papier on peut tout faire. Donc quand on reprend la métaphore du papier on se retrouve toujours avec le même truc, une suite bureautique : un peu de PAO par-ci, un peu de texte par-là. Ou alors on se retrouve avec des logiciels spécialisés (comme les outils LaTeX) qui sont finalement peu flexibles (soyons honnêtes). Le grand drame finalement, c'est que l'informatisation des bureaux s'est surtout faite en passant du document papier au document électronique. Le succès du PDF est du à cette inertie.