Linux répond de manière complexe à un problème qui n'existe pas dans ton entourage puisqu'ils disposent déjà d'un OS installé sur leur ordinateur qui fonctionne relativement correctement et qui dispose d'un choix énorme de logiciels (et un OS, son rôle c'est de faire tourner des logiciels avant d'être un jouet et un outil de reconnaissance sociale pour geeks).
Je ne vais pas m'épancher sur les guerres de clocher qui ont mené à un morcellement des distributions qui casse toute visibilité ou sur la priorité évidente des acteurs du secteur au monde serveur puisque les membres de la fondation Linux ont pour but d'investir et non de faire des cadeaux aux libristes. C'est ça qui explique que Gnome, KDE, Gimp, Kdenlive, LibreOffice, [insère ici ton projet desktop préféré] n'avancent que très peu, de manière laborieuse au gré des efforts remarquables des communautés, alors que le noyau et les outils serveurs (Docker, Kubernetes, Nginx, …) se portent très bien. Cette dichotomie s'est creusée sur la dernière décennie.
Linux répond de manière complexe à un problème qui n'existe pas dans ton entourage puisqu'ils disposent déjà d'un OS installé sur leur ordinateur qui fonctionne relativement correctement et qui dispose d'un choix énorme de logiciels (et un OS, son rôle c'est de faire tourner des logiciels avant d'être un jouet et un outil de reconnaissance sociale pour geeks).
Je ne vais pas m'épancher sur les guerres de clocher qui ont mené à un morcellement des distributions qui casse toute visibilité ou sur la priorité évidente des acteurs du secteur au monde serveur puisque les membres de la fondation Linux ont pour but d'investir et non de faire des cadeaux aux libristes. C'est ça qui explique que Gnome, KDE, Gimp, Kdenlive, LibreOffice, [insère ici ton projet desktop préféré] n'avancent que très peu, de manière laborieuse au gré des efforts remarquables des communautés, alors que le noyau et les outils serveurs (Docker, Kubernetes, Nginx, …) se portent très bien. Cette dichotomie s'est creusée sur la dernière décennie.