Logo journal du hacker middle
  1. 1

    Il est malheureusement souvent plus convaincant d'appuyer quand ça fait mal lors des pannes des services centralisés GAFAMesques que de tchatcher sur l'éthique et la vie privée…

    1. 1

      Surtout ne pas soutenir un logiciel écrit en Vala !!

      Combien de temps et d'argent vont encore être perdus avec cette techno Gnome merdique ?

      1. 1

        DTube, qui est basé sur IPFS, semble plus intéressant https://d.tube/

        1. 1

          J’ai pas bien compris l’idée du projet… c’est open source mais la crypto qui est derrière etc

        1. 2

          Commencez par apprendre le C++, puis passez au JavaScript… la conclusion de cet article est vraiment grotesque.

          1. 2

            Un lien vers un article parlant de fonds d'écran, c'est exactement ce que je ne souhaite pas trouver sur le Journal du hacker…

            1. 2

              le principe du Journal du hacker est davantage de choisir ce qui va rester longtemps visible en haut de la première page en votant pour un article ou un commentaire plutôt que de décider ce qui passe dessus ou pas :)

            1. 2

              L'ouverture en open data est une très bonne chose au niveau de la perception de l'administration par les citoyens, mais le point soulevé par l'auteur du fait que la base LEGI soit fournie sous une forme difficilement exploitable (base énorme de fichiers XML répartis dans des répertoires à la nomenclature imbitable d'après ce que j'ai compris) ne semble pas aider à la prise en main des données par les citoyens.

              Les initiatives les plus intéressantes au niveau de l'open data des données des citoyens me semblent pour l'instant celles offrant directement une api rest permettant l'utilisation et l'interrogation simple de ces données.

              1. 2

                Hello Carl,

                Tu penses à quels services ?

                Pour moi l'État fournit les données en Open Data et c'est à la communauté des citoyens de créer des services sur ces données. C'est un peu logiciels libres contre SaaS là !

                Bien sûr, quand les données sont organisées de manière complexe ça ne facilite pas le travail !

                1. 2

                  je me demande juste si mettre des données en libre accès suffit. Si elles sont difficilement exploitables, je ne suis pas sûr que le but soit atteint.

                  Par exemple, l'État peut offrir un service public, mais si dans les faits s'il est difficilement accessible, on peut se demander si la tâche de l'État est bien remplie. Un peu comme obtenir un HLM relève du parcours du combattant pour des gens socialement fragiles, obtenir le RSA demande d'avoir une adresse postale et est donc dans les faits il est inaccessible aux SDFs, etc. Pour en revenir à notre problématique, si on nous fournit des données et qu'on n'offre pas vraiment de système simple et pratique d'y accéder, d'y naviguer et de les exploiter, est-ce vraiment de l'open data ? C'est ton article qui me fait m'interroger sur ces questions :)

                  1. 2

                    Oui je comprends ta réflexion. Mais ces données sont les mêmes que celles qu'utilisent Dalloz et LexisNexis, donc on doit pouvoir en faire quelque chose puisqu'ils le font ! Et on doit pouvoir faire d'autres choses aussi, comme des API REST.

              1. 1

                C'est vrai que le titre est plus clair comme ça !

                1. 1

                  :)